Synopsis : Paris, septembre 1942. Lucas Steiner, le directeur du théâtre Montmartre, a dû fuir parce qu’il est juif. Sa femme Marion Steiner dirige le théâtre et engage Bernard Granger pour jouer à ses côtés dans ”La Disparue”, que met en scène Jean-Louis Cottins. Jusqu’au soir de la générale, la troupe subit les menaces du virulent critique de ”Je suis partout”, Daxiat, dont l’ambition est de diriger la Comédie- Française.
Et si, par amour pour sa femme, Lucas Steiner avait fait semblant de fuir la France et était resté caché dans la cave de son théâtre pendant toute la guerre…
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La recette est classique : prenez un homme et une femme, aussi mal assortis que possible. Plongez-les dans un bain d’aventures harassantes qui vont d’abord aiguiser puis doucement polir l’hostilité qu’ils se vouent. La trajectoire est inattendue pour les personnages ; à l’inverse, elle est parfaitement prévisible pour le spectateur, qui réclame sa ration de romance. Mais il se joue un peu plus ici qu’un éloge de l’amour.
Cloîtrés chez nous avec le confinement, on est aussi privés de nuit : les errances dans la ville plongée dans le noir, l’émoi dans l’obscurité des salles de cinéma et des théâtres, l’effervescence dans les bars ou les clubs qui ferment très tard… Pour retrouver ces sensations-là, on a monté un supercut nostalgique (signé Nicolás Longinotti) et demandé à dix artistes qu’on aime – Rebecca Zlotowski, Christophe Honoré, Bertrand Mandico, Yann Gonzalez, Caroline Poggi, Béatrice Dalle, Agnès B., Virgil Vernier, Patric Chiha et Perez – de nous parler de leurs nuits de cinéma, les plus belles, étranges ou intenses. Elles et ils nous ont confié quelques mots intimes, parfois accompagnés d’images et de musiques, promettant de rêver cette échappée dans la nuit.
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