« Pour Zingaro, chaque représentation n’est que l’étape d’un long voyage. "Éclipse" montre le chemin parcouru. Une nouvelle approche : les danseurs sont devenus des cavaliers aux côtés des cavaliers qui se sont changés en danseurs. Une nouvelle contrainte cette fois : plus de couleurs, seulement l’obscurité et la lumière. Une nouvelle rencontre musicale surtout : les mélodies du shinawi et les "voies sanglantes" du chant pansori, ou le partage par la tribu de la force intérieure ancestrale du pays du matin calme, la Corée. »
Anne Laurent