CECIL B. DEMILLE

On sait aujourd’hui que Cecil B. DeMille n’était pas seulement le grand organisateur de spectacles bibliques auquel l’a souvent et exclusivement identifié, peut-être, la génération qui a vu régulièrement ressortir en salles, durant les vacances scolaires des années soixante et soixante-dix, son ultime film, Les Dix Commandements (1956). Inventeur de formes voire d’un langage cinématographique, créateur de genres, peintre épique de l’Histoire, sensualiste effréné, marchand roublard, conservateur rigide, puritain dévoyé, la personnalité de Cecil Blount DeMille est elle-même un mystère romanesque et débordant de contradictions.

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