JULES ET JIM
  • JULES ET JIM
  • FRANÇOIS TRUFFAUT
  • “Dans la filmographie de Truffaut, j’ai été particulièrement marqué par ses tragédies amoureuses. Il y a dans ses histoires, un romantisme noir qui a troublé l’adolescent que j’étais. L’amour y était puissant et dangereux, comme un feu intérieur qui vous consume et finit par tout détruire. Ces films m’ont éveillé mais m’ont aussi fait peur. La mélancolie et le désespoir qu’ils contenaient, magnifiquement accompagnés par la musique de Delerue, sonnaient comme un avertissement. L’enfant que j’étais essayait de comprendre les passions humaines.” Sébastien Lifshitz
LES DEMOISELLES DE ROCHEFORT
  • LES DEMOISELLES DE ROCHEFORT
  • JACQUES DEMY
  • “Il y a des visages que l’on n’oublie pas et qui vous accompagnent toute une vie. J’ai découvert celui de Catherine Deneuve dans les films de Demy. C’est toujours difficile d’expliquer pourquoi on est ému par un visage, surtout celui de Deneuve qui est tout en retenue. Le corps a beau s’agiter, courir, danser, chanter, quelque chose résiste. C’est probablement ce mystère qui me happe encore aujourd’hui dès que je la retrouve dans un film. J’aime les actrices secrètes.” Sébastien Lifshitz

“Dans le catalogue mk2 Curiosity, j’aurais aussi pu choisir Shame de Steve McQueen avec l’immense Michael Fassbender, le sensuel Pickpocket de Robert Bresson (dont j’ai l’affiche encadrée chez moi), l’énigmatique Et la vie continue d’Abbas Kiarostami, La pianiste de Michael Haneke avec l’incandescente Isabelle Huppert… La liste est infinie.” Sébastien Lifshitz